Libération de Barr le 28 novembre 1944
La ville panse ses plaies, ce ne sont que ruines, dans certaines rues : Murs éventrés, criblés d’impacts d’obus, tourelles de char explosées et incendiées, d’où pendent des débris humains calcinés. Pas moins de 20 maisons furent touchées par le feu. De certaines, il ne restait que des ruines. Des débuts d’incendies furent rapidement maîtrisés. Les Barrois découvrent un spectacle sur fond de façades délabrées aux fenêtres et volets calcinés. Un engin militaire, neutralisé devant le magasin Kiechel -une graineterie – brûla, et l’incendie fut éteint par les voisins.